Au delà des frontières
Programme court-métrages - 1h31
Séances le jeudi 25 août à 13h30 - Cinéma La Balise Salle 2
et le vendredi 26 août à 10h15 - St Blaise
The Nightwalk
Fiction réalisée par Adriano VALERIO / Production : Films Grand Huit (Quiberon 56) / 16’
"J'ai candidaté dès qu'ils ont ouvert un programme d'échange, je voulais absolument partir, où que ce soit. J'étais nerveux avant d'arriver à Shangaï, mais l'endroit m'a semblé familier, aussi étrange que ça puisse paraître. J'ai trouvé un appart, j'ai rencontré Lin, tout était magnifique, simple. Un matin j'ai reçu un mail de ma fac chinoise, on me demandait de ne pas quitter mon appartement". A. Valerio
Un film construit d'une manière très singulière, utilisant différents supports d'image et mêlant différents récits intimistes.
Un film construit d'une manière très singulière, utilisant différents supports d'image et mêlant différents récits intimistes.
Termaji
Fiction réalisée par Avel CORRE (Douarnenez 29) / Production : Tita B Productions (Douarnenez 29) / 24’
Quelque part entre l’ici et l’ailleurs, l’arrivée des termajis aux abords de la frontière réveille les préjugés du village voisin. Kaou et Anjela éprouvent ces délimitations de territoire et de cultures qui les séparent, autant qu’elles les rapprochent. Une balade chorégraphique de paysages et un regard poétique qui questionne l’altérité et l'altruisme …
Memories of crossing
Fiction réalisée par Alberto SEGRE / Production : Blue Hour Films (Rennes 35) / 21’
Novembre 1989. Célèbre gymnaste, Diana Dumitrescu fuit la dictature roumaine lorsqu'elle est arrêtée à la frontière hongroise avec d'autres fugitifs. Depuis toute petite, elle a été entraînée pour surmonter les épreuves les plus dures, réussir les figures les plus périlleuses. Dans cette ultime compétition pour sa survie, elle sait qu’il n’y aura qu’un seul gagnant.
L’Ombre des corbeaux
Fiction réalisée par Elvira BARBOZA / Production : Les 48° Rugissants (Brest 29) / 30’
Mexique 2011, à Cherán, un gang de trafiquants pratique une déforestation sauvage. Il terrorise la population, enlève et assassine ceux qui résistent. Trahies par les élus locaux et la police, les femmes se rebellent et deviennent le symbole de la résistance. La lutte va durer plusieurs mois, les trafiquants seront enfin refoulés. Le gouvernement reconnaît l’autonomie de Cherán et le droit de se gouverner selon les us et coutumes purepechas, évinçant ainsi les partis politiques. Aujourd’hui Cherán vit, les arbres de la forêt ne meurent plus.